Et si aujourd’hui, justement, c’était le jour où je ne me préoccupais pas de l’accès de tous à la culture, de la conservation et de la transmission du patrimoine, de la médiation et de l’accès du grand public aux œuvres, de la diversité et de la richesse des contenus, de la trouvabilité de l’aiguille dans la botte de foin, de l’usager et de ses usages multiples, de l’élaboration de la connaissance et du savoir, de l’émulation culturelle des communautés, du positionnement de la collection dans l’espace et le temps, de la qualité de la donnée qui fait la qualité de l’expérience utilisateur, de la découverte et de la sérendipité, de l’exception qui rend la règle encore plus magnifique, des siècles qui nous contemplent, du grand, du beau, et de l’ancien.
Aujourd’hui, c’est ma journée du non-patrimoine.
Avec, quand même, un bel élément patrimonial en toile de fond… Déformation professionnelle oblige ?