Caveat Lector a un billet dont je me sens si proche que je ne résiste pas à l’envie d’en traduire quelques passages.
Marcher sur la corde raide entre le blogging professionnel et personnel peut parfois sembler franchement suicidaire. Cela complique aussi des choses simples, comme "est-ce que je mets l’URL de mon blog dans une liste que je fais pour un site de bibliothèque ?" (…)
Et pourtant, CavLec n’apparaîtra jamais sur mon CV. (…)
C’est là que se situe la limite du bloguer-ou-ne-pas-bloguer. Je parle de ma profession sur CavLec. La plupart du temps, je ne parle pas de mon travail, à part dans la mesure où j’exerce ma profession en faisant mon travail. (…)
Préserver cette limite protège certaines libertés qui me sont chères. L’une d’entre elles est la liberté d’être stupide, de ne pas me prendre au sérieux, de ne pas prendre mon travail au sérieux, de ne pas prendre la profession au sérieux.
Mes excuses à l’auteure de ce très bon texte, pour la probablement piètre traduction impropre à rendre l’humour auquel elle tient tant.
Il faut le lire dans le texte et en entier.
My French is fairly awful, but your translation looks great to me!
I hope so… Thank you for coming !